J’aime beaucoup ce magnifique court métrage (The End de Maxime Leduc, Michel Samreth, Martin Ruyant, merci à vous trois !)
Il se laisse aller à suivre son intuition quand l’oiseau arrive. Il n’est pas dans ce que la société attend de lui et est condamné à être brûlé vif. L’oiseau le sauve en le déstructurant et en le recréant nouveau dans un environnement différent.
L’oiseau respecte l’épouvantail, dans ce qu’il est, il l’aide juste à se repositionner différent dans un environnement différent. Moi j’y vois pour une part une allégorie de mon métier d’accompagnement en coaching et en médiation.